Et voici Ivan le Terrible, le pédo, qui fait du pédo comme d'autres bien connus philosophent. Car la philo du pédo, c'est de s'enfiler (pour ne pas dire s'enculer!) six petites jeunes filles, vierges si possible, à déverger si ceci n'est pas impossible. Et De plus, Ivan le pédo, ventouse de sa bouche immonde (car il est immonde de la tête aux pieds) d'un atroce baiser sur la joue immaculée de salive d'immonde. Immondice parmi l'immonde, Ivan le pédo courtise de ses bonjour et au revoir, l'un lui serrant la main; l'autre d'un bisou ventouse, s'assurant ainsi qu'il ne serait jamais abandonné par ses compagnons d'infortune qui embarquent la barque du pauvre petit grand pécheur qu'il est en finalité. Car en plus, il se présente de bourreau à victime victime du système carcéral dont il s'innocente déjà depuis plusieurs années. Victime du système dira-t-il sortant entre deux immondes plaisanteries dont il a en tant que pédo, le grand secret, qu'il se déclare innocente victime du système. "Quand je pense qu'il y en a qui ont fait plus grave que moi, et qui sont libérés avant moi" car Calimero et pédo rythment bien ensemble. Tête de nud, nud Têtu!
Et savez-vous, quel est le nec le plus ultra pour Ivan le terrible pédo? Lorsqu'il prend sa douche, quand il en prend une, il saisit sa bite, le dévergeur précoce et expérimenté (qui en a vu d'autres, des vertes et des pires) et de s'enfoncer un doigt dans son anus s'imaginant (car c'est un grand malade imaginaire, comme tous les pères verts obtus) ainsi qu'il pénètre le vagin d'une femme qu'il attend toujours et qui ne viendra jamais.
Patrice Vareltzis