Rome

Le premier grand reportage que j’ai pu faire était en 1950 à Rome, une année que le pape avait déclaré “Année Sainte”. Je devais faire tous les jours un petit compte-rendu de 2 minutes qui était collé au journal parlé du matin.
A Rome, il y avait une église, et elle y est toujours, que les francophones nomment Saint Julien des Belges et que les flamands appellent Sint Juliaan der Vlamingen.
C’était, en effet, un Comte de Flandre qui très tôt au Moyen-Age a fait construire cette église pour y accueillir les pèlerins flamands, surtout des peintres et des musiciens, qui venaient travailler à Rome.
Le curé de cette église était Monseigneur Vaes, natif de Verviers, qui m’accueillit chaleureusement et m’invita le soir à sa table pour un frugal repas de spaghetti bolognèse en compagnie de plusieurs Monseigneurs spécialistes en musique et en architecture. Au soir tout le monde me dit qu’il serait impossible d’obtenir encore un billet d’entrée pour la Basilique Saint Pierre. Ces choses devaient être demandées 6 mois d’avance.
Je me rendis à l’Ambassade de Belgique au Vatican où l’on me dit que j’arrivais bien à propos. Le secrétaire de l’ambassade avait une invitation pour assister à la cérémonie de béatification d’une reine de France. Il n’avait pas l’intention d’y aller et me tendit le billet d’entrée, grand comme une demi page de journal.
Muni de ce document je me rendis au repas du soir chez Monseigneur Vaes où tout le monde s’exclama : Porta di Santa Marco, Tribuna di San Pietro. C’est la plus belle entrée du Vatican.
Je fus accueilli par un Suisse en uniforme qui m’accompagna jusqu’à l’entrée de la basilique. Après je marchai seul et quelle ne fut pas ma stupéfaction de voir la tribune de Saint Pierre remplie de femmes. Vraisemblablement les femmes de Rome connaissaient de bons tuyaux pour s’accaparer les meilleurs places de l’édifice. Je montai quand même les marches de la tribune et me collai contre la dernière personne devant moi. Je l’appris plus tard, c’était Mademoiselle Hortense de la Bruyère, la petite nièce de l’ambassadeur de France au Vatican. Jamais à Bruxelles, je n’avais été coincé si fort dans un tram bruxellois. Je voulus m’excuser auprès de la personne devant moi, mais visiblement ce n’était pas la peine. Elle portait une mantille blanche en dentelle de Venise qui lui cachait une partie du visage et pour le reste, du cou au pieds, une robe de soie naturelle qui moulait avec plaisir les rondeurs d’un fort joli corps. Visiblement elle ne portait rien en dessous de cette robe. De toute évidence, cette jeune aristocrate essayait avec succès de taquiner avec son postérieur mon pénis raidissant.

A la fin de la fonction papale, nous nous rendîmes ensemble à la sortie où je l’invitai à déjeuner avec moi. Elle ne pouvait accepter car elle était attendue à la table de l’Ambassadeur de France et le lendemain elle devait retourner à Paris pour poursuivre ses études de droit. Je l’invitai à venir avec moi aux jardins du Tivoli que les papes successifs avaient aménagés pour fuir leurs très lourdes et saintes tâches. Là, devant la grande allée de hêtres qui monte vers la Villa Borgia, nous restâmes longtemps sur un banc. La nuit était aussi chaude que le jour. Ma compagne souleva sa robe et posa sa chatte entrouverte sur mon penis. Elle se tortilla de toutes sortes de façon, à gauche, à droite, vers le haut vers le bas, en ronronnant, en mordant en criant comme une tigresse en furie. Moi personnellement trois fois successivement je lui ai donné mon sperme au moment où elle était à son paroxysme.

Author : Jos Gemmeke

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