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![]() Un nouvel emblème pour la Communauté française Sa couleur rouge en fait un symbole de résurrection et sa fleur qui rappelle la crête du coq (celui qui chaque matin marque la résurrection du soleil par son cocorico) est à l'origine de son nom : coquerico (désignant le coq par onomatopée) puis coquelicoq (1545), enfin coquelicot apparaissent pour désigner cette plante messicole. La métaphore entre la couleur de la fleur, sa forme et la crête du coq est unique à la langue française. |
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![]() Le Chant du Coquelicot Sang versé sans sens Errant sans les sens C'est incensé Pauvre errance d'incensé Ouvre les yeux M'entends-tu Me vois-tu Dans mon cœur de fleurs fânées Un coquelicot s'est éclos Il repeint mon cœur Rouge Amour Sourire fragile de sens Ephémère hypnose C'est la douce morphine Des souvenirs endormis D'une sauvage ardeur Dans mon cœur de fleurs fânées Un coquelicot s'est éclos Il repeint mon cœur Rouge Sang Veine de la vie Ses racines me déterrent Mon âme s'envole Je vole |
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Le coquelicot est un pavot des champs, sans aucun pouvoir toxique. Au VIe siècle av. J.-C., le roi de Rome, Tarquin le Superbe, assiégeait la ville de Gabies. Son fils Sextus fit semblant de se brouiller avec lui et, s'étant réfugié dans la ville assiégée, il en devint bientôt le chef. Il envoya un messager à son père, pour demander à ce dernier ce qu'il devait faire. Tarquin ne répondit rien, se contentant de couper, à coups de bâton, des têtes de pavots... ce qui engagea Sextus à faire décapiter les principaux citoyens de Gabies. Telle est l'histoire des Pavots de Tarquin qui étaient, en fait, de simples et modestes coquelicots. extrait de http://www.yfolire.net/sais/anim_c6.htm ;-) à La Fête des Coquelicots, 2ème week-end de juin à Chaumont-Gistoux. °-) à Joëlle MILQUET pour son chaleureux soutien
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